En cette période exceptionnelle de confinement, les résidents des Parentèles de la Ville du Bois ont besoin de se distraire et de réconfort. Par exemple avec la chienne-guide Lixi, une chienne berger blanc Suisse qui rend visite régulièrement à la résidence.
Précision importante, malgré l’unique cas à Hong-Kong d’un chien* aucune preuve scientifique ne peut confirmer que le nouveau coronavirus peut se transmettre d’un chien ou un chat à son propriétaire. « Malgré la présomption d’une introduction initiale du 2019-nCoV chez l’homme à partir d’un animal, la voie de transmission prédominante ultérieure semble être interhumaine », précise l’Organisation mondiale de la santé animale.
Les résidents se changent les idées au travers de quelques activités simples à mettre en place et qui font du bien. Ci-dessus des photos des scènes de la vie quotidienne comme le massage des mains par les soignants, les jeux télévisés qu’on regarde à plusieurs, la lecture de journaux et magazines, l’écoute de contes… Il est important que les résidents puissent s’occuper l’esprit lors de ces moments apaisants.
Petite vidéo montrant un moment privilégié avec Lixi:
* L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a réuni un groupe d’experts qui a conclu qu’il n’existe aucune preuve que les animaux de compagnie et d’élevage jouent un rôle dans la propagation du virus à l’origine de cette maladie. Si le génome du virus a été détecté dans les cavités nasales d’un chien au contact d’une patiente infectée à Hong Kong, cela n’est pas une preuve suffisante pour conclure à une infection de l’animal. Une contamination passive n’est pas à exclure, notamment du fait de la survie possible du virus sur une muqueuse humide sans nécessairement s’y répliquer.